Jean-Yves Dionne
Une docufiction sur l’air d’une rhapsodie !
1989 – Le rideau de fer s’effondre. Il en résulte la dissolution de l’empire de l’Est. L’atmosphère délétère de fin de régime et le chaos
s’installent dans les pays du bloc de l’Est. Après cinq décennies d’un système verrouillé, l’insécurité et le chaos social succèdent
à l’ancien régime. Guy Robitaille, diplomate canadien, est affecté à Budapest. Sa hiérarchie le missionne en soutien aux entreprises de son pays. Au centre de ce récit, l’achat pharaonique de deux nouvelles centrales nucléaires CANDU par la Hongrie.
La vie d’ambassade se démarque par de nombreux défis : le déclassement de collègues démotivés, les complots, les alertes diverses et la présence sournoise d’une taupe qui agit dans l’ombre des murs de la chancellerie. Le quotidien du diplomate est exacerbé par la démesure d’un ambassadeur truculent et galopant. Comme si cela n’était pas suffisant, Robitaille s’empêtre dans une liaison infidèle. Un récit aux allures typiques d’une rhapsodie.
Nombre de pages : 277


Jean-Yves est un internationaliste convaincu et un vif défenseur de la règle de droit. À la retraite, il partage désormais ses expériences à travers l’écriture, abordant des sujets liés aux relations internationales qu’il saupoudre du sel et des épices au bilan de ses aventures personnelles, tout en contribuant activement à la communauté littéraire des Laurentides. Son parcours est marqué par une profonde curiosité du monde et un engagement à construire un avenir meilleur.
Il écrit pour faire découvrir les peuples et les pays où il a vécu et il communique à travers des récits, parfois truculents, sa propre philosophie de la vie. Cette dernière se résume à une grande curiosité (appétence) envers l’humain, la bienveillance et le bonheur.

