Catalogue
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Essai
L’affaire Bissonnette: Un verdict sans parti pris?
$20.00Au Québec, le gouvernement de Philippe Couillard fait campagne contre ce qu’il appelle la non-inclusion des minorités ethniques et religieuses. Le drame de la mosquée de Québec fait redoubler d’ardeur le premier ministre. Toutes les tribunes deviennent les outils de dénonciation du racisme systémique. Cette puissante campagne politique, relayée généreusement par l’ensemble des médias québécois, contribue à durcir l’opinion publique à l’encontre d’Alexandre Bissonnette, à le stigmatiser en le décrivant comme l’incarnation même du mal. Dans le monde, la montée en force de l’État islamique fait la manchette quotidienne avec ses terreurs : enlèvements, assassinats et attentats terroristes meurtriers. Ces extensions extrémistes suscitent une forte anxiété chez Alexandre Bissonnette, au fait de l’actualité internationale. Il craint leur infiltration au Canada et que des immigrants malveillants s’en prennent à son milieu de vie. Fragilisé psychologiquement, il se propulse paradoxalement vers des héros du web, ses funestes idoles justicières.
Nombre de Pages : 194
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Arts
L’amour de l’art, 1 T.1 : Un tableau pour l’impératrice Sissi
$22.95Se peut-il que ce portrait de jeune femme langoureuse réalisé par le peintre préféré de Napoléon Ill, vendu aux enchères à Montréal, ait été une commande de l’impératrice d’Autriche-Hongrie, la fameuse Sissi? Le timbre au dos indique que le tableau provient de la collection nationale hongroise. S’agit-il d’une des toiles volées par les Allemands en 1944 pour le futur musée d’Hitler? Quel rôle joue cet énigmatique Monsieur S. dont la succession offre en vente cette série de tableaux? Les nazis ont dépouillé les collectionneurs juifs et les musées nationaux des pays envahis de milliers de tableaux. Certains réapparaissent-ils au Québec? L’auteur mène une enquête quasi-policière captivante.
Nombre de pages : 240
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Arts
L’amour de l’art, 2 T.2 La Traviata de l’empereur
$24.95La succession de Monsieur S. présente ces toiles aux enchères comme hongroises du 20ème siècle, alors qu’elles semblent plus anciennes, et plutôt espagnoles ou françaises. Cette Dame aux camélias, est-elle vraiment un diptyque inconnu d’Édouard Manet? Le gentilhomme, à l’arrière-plan, ressemble bien à Alexandre Dumas fils. Ces toiles ont dû parcourir un chemin rocambolesque pour aboutir à Montréal, 170 ans plus tard. Comment authentifier ces tableaux spoliés aux juifs de Budapest durant la Seconde guerre mondiale? On pourrait croire que découvrir une telle œuvre s’apparente à gagner le gros lot. Erreur! L’auteur passe pour un brave hurluberlu. L’enquête qu’il mène lui donnera-t-elle raison?
Nombre de pages : 234
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Arts
L’art est un média de masse
$35.00Retraité du multimédia, Claude Philippe Nolin est aujourd’hui un artiste professionnel en art visuel. Au cours de sa vie, il a travaillé à la médiatisation de formations pour l’enseignement à distance au sein de diverses constituantes du réseau de l’Université du Québec ainsi qu’au sein d’autres institutions de la recherche et de l’enseignement supérieur du Québec.
Diplômé en art plastique (UQAM 1983) et en communication (UQAM [ 013), il a poursuivi tout au long de sa vie une réflexion sur la définition de l’art et de son rôle social ainsi qu’à propos de la liberté d’expression des artistes.
Les réflexions d’un praticien de l’art sur sa pratique et sur le rôle social de l’art. Celles-ci portent sur une redéfinition de l’art en fonction des théories modernes de la communication, de la sociologie et de la psychologie.
Son postulat? L’art est d’abord et avant tout un média de masse.
Tous en conviennent, par l’usage de mises en scène esthétiques, l’artiste communique à son public ses idées, ses impressions et ses émotions. Mais comment cela fonctionne-t-il?
Selon l’auteur de la théorie médiatique de l’art, l’art permet tant aux individus qu’aux sociétés d’établir ou d’actualiser leurs rapports avec leur environnement, avec leurs semblables et avec leur propre humanité, bref, leurs rapports avec une réalité toujours subjective.
Nombre de pages : 393
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Essai
L’essence des choses
$18.95Documenté et référencé comme un livre d’économie, cet essai romancé met en scène un jeune statisticien et son épouse institutrice dont les visions du monde se trouvent à l’opposé l’une de l’autre. Lui croit dur comme fer à la société de consommation dont son métier le charge de tracer les courbes et calculer les indices de croissance. Elle sait que le bonheur ne se calcule pas avec des chiffres et rêve de s’occuper d’une classe unique dans un petit village de montagne.
C’est en rentrant de leur voyage de noces qu’elle reçoit l’affectation de ses rêves et lui sa lettre de licenciement. Si, au début, il la suit contraint et forcé, il va peu à peu s’ouvrir à un nouveau mode de vie dont il ignorait qu’il pouvait exister. Un mode de vie où priment les relations humaines sur les échanges commerciaux et le « faire soi-même » sur l’acte d’achat. Bientôt contacté par un groupe mystérieux qui le charge d’enquêter sur les signes avant-coureurs d’une nouvelle société en train de se former tandis que s’écroule inéluctablement la « civilisation du superflu », il nous livre un rapport aussi accablant sur cette dernière que porteur d’espoir sur les nouveaux modes coopératifs en train d’émerger un peu partout à travers le monde.