Catalogue

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  • LittĂ©rature autochtone

    Chasse dans le Nutshimit

    $19.95
  • LittĂ©rature quĂ©bĂ©coise

    Chronique noire de Maisonneuve T 1 La pluie tombait et la dĂ©bĂącle s’est amorcĂ©e

    $24.95

    « Il empoigna le corps qui gisait au pied de l’escalier. Et aprĂšs l’avoir hissĂ© sur son Ă©paule, puis avoir traversĂ© la cour intĂ©rieure de l’édifice en prenant garde de ne pas glisser sur le sol verglacĂ© qui continuait Ă  se couvrir d’eau au fil de l’averse incessante, il le dĂ©posa prestement dans le vaste coffre de sa voiture. Il scruta ensuite briĂšvement les fenĂȘtres des bĂątiments environnants Ă  la recherche d’une lueur Ă©manant d’une bougie ou d’un quelconque Ă©clairage artisanal, mais ne distingua rien d’alarmant. Il ne vit que les habituels commerces surmontĂ©s de maisons de chambres, pour la majoritĂ© laissĂ©s Ă  l’abandon depuis plusieurs jours en raison de la panne Ă©lectrique. Alors, il se mit au volant de sa voiture et dĂ©marra afin de s’éloigner. À l’intersection, il vira Ă  l’est sur la rue Sainte-Catherine, dĂ©sertĂ©e, puis roula briĂšvement jusqu’à la rue Peel. Il s’y engagea Ă  toute vitesse malgrĂ© la mince couche de glace qui faisait patiner ses roues et dĂ©porter constamment, par Ă -coups, sa voiture vers la droite, et gagna le boulevard RenĂ©-LĂ©vesque. »

    Nombre de Pages : 172

  • Horreur

    Chronique noire de Maisonneuve T 2 L’étreinte des naufrageurs

    $19.95

    « Il pleut sur la ville depuis des heures et la pluie s’écoule dans les rues sans s’arrĂȘter. Mais pour Lemmy T. Stone, maintenant, toute cette eau ne coulera plus assez pour laver ses souvenirs ou les emporter loin. Au contraire, ceux-ci tourneront auprĂšs de ses luxures comme une bande de coyotes et de vautours. Heureusement, ils n’auront plus pour lui qu’une lointaine signification. Tout ce qui lui paraissait abject 24 heures plus tĂŽt et le faisait pĂ©niblement souffrir semble devenu son seul point de rĂ©fĂ©rence. C’est donc sans remords qu’il compte dorĂ©navant se griser de ce que l’argent et le pouvoir seront en mesure de lui procurer. »  Dans ce deuxiĂšme roman de la Chronique noire de Maisonneuve, tandis qu’en filigrane une sĂ©rie de meurtres qui pourrait ĂȘtre un fĂ©minicide tient les policiers en haleine, on s’accroche aux pas d’un jeune banquier poussĂ© malgrĂ© lui Ă  faire son chemin dans un systĂšme oĂč les privilĂšges coĂ»tent cher et qui, au final, broie les gens tout simplement.  La Chronique noire de Maisonneuve se déroule à l’époque actuelle. Outre certains personnages, dont les membres de l’Unité des homicides, les romans qui composent la série présentent certaines caractéristiques récurrentes, dont un regard tragique et pessimiste, voire ironique, sur la société. De même, la série évolue dans la ville de Maisonneuve, représentation d’une Montréal reconstruite à la suite d’une uchronie. Ainsi, Maisonneuve, au lieu d’être annexée par Montréal en 1918, a plutôt annexé Montréal. Maisonneuve offre donc au lecteur un ancrage référentiel fort, un peu à l’image de la musique qui rythme l’action d’un film.

    Nombre de Pages : 190

  • LittĂ©rature quĂ©bĂ©coise

    Chronique noire de Maisonneuve Tome 4 La bĂȘte prise en cage

    $19.95

    Joey Steltzer entre dans une chambre douillette, dont les murs sont recouverts d’un papier peint texturĂ© rouge mĂ©tallisĂ©, garni de motifs or d’inspiration victorienne. Son regard traverse la piĂšce et il aperçoit Karine de Neuville, assise sur une chaise placĂ©e prĂšs du lit. Elle le regarde, l’air terrifiĂ©, et il remarque immĂ©diatement ses joues rouges et ses yeux luisants. Des yeux qui sont en rĂ©alitĂ© remplis de larmes. Il ne comprend d’abord pas ce qui se passe, puis il entend la porte se refermer derriĂšre lui. Il se retourne instantanĂ©ment et dĂ©couvre un homme d’une cinquantaine d’annĂ©es, peut-ĂȘtre mĂȘme soixante, qui le tient en joue avec une arme Ă  feu. « Bonsoir Joey », dit-il. L’individu prĂ©sente un visage de forme lĂ©gĂšrement allongĂ©e et des cheveux poivre et sel. D’allure nĂ©gligĂ©e, il porte un vieux costume gris de coupe standard, froissĂ©, une chemise blanche dont le bord des manches est un peu Ă©limĂ©, ainsi qu’une cravate Ă  carreaux gris et blanc sur fond rouge. Steltzer ignore de qui il s’agit. La situation lui semble irrĂ©elle et il est subitement trĂšs effrayĂ©. Ne sachant que faire, il tourne instinctivement la tĂȘte pour regarder de nouveau Karine de Neuville. Il la voit assise sur la chaise avec les mains sur les genoux. La dĂ©tresse est bien visible dans ses yeux et elle n’arrive plus Ă  contenir ses larmes.  Avec La bĂȘte prise en cage, Richard Cloutier ajoute une pierre Ă  l’Ă©difice de la « Chronique noire de Maisonneuve », une sĂ©rie de romans noirs d’ambiance ancrĂ©s dans des histoires de corruption et de crimes dans lesquelles les morts se succĂšdent.   La « Chronique noire de Maisonneuve » se dĂ©roule Ă  l’époque actuelle. Outre certains personnages, dont les membres de l’UnitĂ© des homicides, les romans qui composent la sĂ©rie prĂ©sentent certaines caractĂ©ristiques rĂ©currentes, dont un regard tragique et pessimiste, voire ironique, sur la sociĂ©tĂ©. De mĂȘme, la sĂ©rie Ă©volue dans la ville de Maisonneuve, reprĂ©sentation d’une MontrĂ©al reconstruite Ă  la suite d’une uchronie. Ainsi, Maisonneuve, au lieu d’ĂȘtre annexĂ©e par MontrĂ©al en 1918, a plutĂŽt annexĂ© MontrĂ©al. Maisonneuve offre donc au lecteur un ancrage rĂ©fĂ©rentiel fort, un peu Ă  l’image de la musique qui rythme l’action d’un film.

    Nombre de Pages : 234