Littérature québécoise
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Littérature québécoise
40 Recettes aphrodisiaques
$16.00Depuis Aphrodite elle-même, déesse de l’amour et des plaisirs, l’humain recherche à stimuler ses appétits. Puis, plus près de nous, un jour, l’auteur André Gide nous invite à célébrer le désir par ses Nourritures terrestres et à accentuer la sensibilité et d’être à son écoute. Aujourd’hui, Sarah Morino nous propose une heureuse combinaison de ces plaisirs de la chair en nous concoctant plus de 40 recettes aphrodisiaques accompagnées de leurs gourmandises verbales pour stimuler à la fois le palais et le cœur afin de pimenter l’amour!
Nombre de pages : 104
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Littérature autochtone
Au fils de nos jours
$19.95Au fil de nos jours, nous cueillons les traces laissées par le temps qui passe. Des plantes, des coquillages, des animaux et, surtout, le chant du tambour d’un grand-père. D’une page à l’autre, suivez la ficelle colorée qui relie tous ces trésors que nous avons ramassés.
Nombre de pages : 32
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Littérature québécoise
BlasFemme
$20.00«Zoé Saurais Empereur est partisane d’une poésie confessionnelle. Dans BlasFemme elle aborde, avec une écriture directe et parfois provocante, les thèmes de l’identité et du quotidien. Son texte, sans compromis, est à la fois inclusif, sociétal, volcanique et revendicateur. Ses mots, d’une extrême lucidité, oscillent entre slam et poème, et comme son auteure, se tiennent bien droits devant chacun d’entre nous.» Christophe Condello «Poète engagée, Zoé Saurais Empereur incarne un féminisme sans compromis. Elle nous offre des textes coups de poing, qui nous touchent tout en nous amenant à réfléchir. Il suffit de l’avoir entendue lire ses textes sur scène et d’avoir vu la réaction du public pour en être convaincu : cette jeune artiste est promise à un brillant avenir.» Sylvain Turner
Nombre de pages: 108
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Littérature québécoise
Chronique noire de Maisonneuve T 1 La pluie tombait et la débâcle s’est amorcée
$24.95« Il empoigna le corps qui gisait au pied de l’escalier. Et après l’avoir hissé sur son épaule, puis avoir traversé la cour intérieure de l’édifice en prenant garde de ne pas glisser sur le sol verglacé qui continuait à se couvrir d’eau au fil de l’averse incessante, il le déposa prestement dans le vaste coffre de sa voiture. Il scruta ensuite brièvement les fenêtres des bâtiments environnants à la recherche d’une lueur émanant d’une bougie ou d’un quelconque éclairage artisanal, mais ne distingua rien d’alarmant. Il ne vit que les habituels commerces surmontés de maisons de chambres, pour la majorité laissés à l’abandon depuis plusieurs jours en raison de la panne électrique. Alors, il se mit au volant de sa voiture et démarra afin de s’éloigner. À l’intersection, il vira à l’est sur la rue Sainte-Catherine, désertée, puis roula brièvement jusqu’à la rue Peel. Il s’y engagea à toute vitesse malgré la mince couche de glace qui faisait patiner ses roues et déporter constamment, par à-coups, sa voiture vers la droite, et gagna le boulevard René-Lévesque. »
Nombre de Pages : 172